Lecteurs, lecteurs anonymes (je vous vois pourtant sur la carte, du pacifique à l’oural, si si, je vous vois clignoter comme de lointaines étoiles ), lecteurs abonnés-mais-muets, m’en veuillez pas trop mais là, je suis, comme dirait Duneton, « comme une truie qui doute ».
On est si peu à jouer — pardon pour les quelques uns qui viennent mettre leur grain de sel, mais vous aussi je suis sûre que vous vous trouvez un peu rares — si peu, que la mayonnaise a du mal à prendre. Bon, c’était peut-être un pari idiot, cette idée d’écriture interactive… ou quoi ?
je fais une petite pause. Une semaine ou deux pour prendre un brin de recul, voir si j’ai envie de continuer à raconter cette histoire sans vous ou presque, si l’aventure d’Olga Polka peut s’accommoder d’une écriture solitaire, alors que je l’avais rêvée comme un jeu à plusieurs.
… si vous avez une idée d’ici mon retour pour relever un peu la sauce, lui donner un peu d’émulsion, nous faire un peu saliver, hésitez pas hein !
Aïe ! C’est que je les adore, moi, cette Olga, et son histoire, et ses recettes ! C’est tout sa faute aussi, si la grenade ne l’inspire pô 😉 Bon, sans rire, la créatrice c’est toi, moi je suis l’oisillon passif, mais affamé et exigeant, qui attend sa becquée ! Alors au boulot, et trêve de doutes truistes :))
bebert :
octobre 26th, 2011 à 23 h 15 min
Moi aussi je les aime, Olga, Fine et tutti quanti: il faut continuer évidemment.
Et j’ai envie de dire aux commentateurs(trices) du début de l’histoire qu’ils me manquent bien: j’aimais bien les lire, ils me faisaient chaud au coeur.
Peut-être faudrait-il les relancer spécialement pour leur dire que Olga et son histoire sont toujours là et qu’elles s’ennuient un peu d’eux …
Enfin, certain commentaires trop éloignés de l’histoire créée par notre narratrice me découragent parfois de mettre mon grain de sel …
Et puis quand la narratrice s’absente trop longtemps j’oublie un peu Olga …
Dommage!
Véronique :
novembre 9th, 2011 à 15 h 33 min
Bonjour Bébert !
Chuis comme vous, quand notre narratrice s’absente trop longtemps, j’oublie un peu Olga, et puis je perds le fil… ma mémoire n’est plus ce qu’elle était !
Si souvent aussi, je me suis sentie seule en venant par ici alors que j’avais rêvé de causeries au coin du feu pour l’hiver à venir…
Véronique :
novembre 9th, 2011 à 15 h 35 min
Bonjour Claire !
Crois-tu que notre narratrice a entendu tes exhortations-encouragements que je partage oeuf corse ? 🙂
Comment va notre narratrice ? Que faire pour lui redonner goût à poursuivre cette aventure, à croire encore à son rêve et bouter ces vilains doutes hors de son esprit ?
Je ne sais pas comment on peut répondre aux questions existentielles genre comment attraper la balle au bond quand personne ne la lance (ou qu’il n’y a pas assez de joueurs… peut-être en lançant la balle contre le mur de la cour arrière ou en s’achetant un panier de basket)[panier de panier… Ah le mélange des langues!], bref no so, I don’t know, mais on peut peut-être commencer avec une superbe page d’accueil… Bravo! Elle est splendide! Et si (en plus) tu en es l’auteur(e) OUAOU!!!!!! Je te tire mon chapeau — ou plutôt ma « tuque » [bonnet] : malgré le réchauffement (« global » et local), l’hiver a quand même fini par arriver…
Bon elle se bouge paucisciente ou bien quoi ?
Mes suggestions pour la reprise :
– autoriser les interventions anonymes.
– envoyer des emails aux utilisateurs inscrits à chaque publication
– faire des épisodes plus courts et plus nombreux.
ce ne sont que quelques suggestions, et aussi des recettes de pates, oui mais des « suggestions ».
ps : bande son pour ce commentaire « simply the best » par tina turner – en toute simplicité.